Les récupérateurs d’eau sont utilisés pour arroser son jardin et également pour d’autres tâches ménagères. Toutefois, ils ne sont pas conseillés pour la cuisson et l’hygiène. Dans l’article qui suit, l’on va se pencher particulièrement sur les systèmes de récupération d’eau pour pouvoir alimenter les plantes présentes dans son extérieur et cela d’une manière à ce que l’écosystème soit respecté.
La taille du récupérateur d’eau à choisir
La première étape est de sélectionner la taille du récupérateur à utiliser. En effet, il existe de nombreux volumes disponibles sur le marché. Étant donné que cette eau de pluie est dédiée uniquement pour le jardin, il est possible de réaliser un bref calcul en se basant sur la pluviométrie de sa commune, la surface de la toiture qui va approvisionner le récupérateur et une estimation sur la quantité d’eau évaporée, soit dans les 10 % du volume total. De cette manière, on peut obtenir la taille idéale pour choisir son équipement. Pour relier ce dernier avec la gouttière, il faut disposer d’un collecteur, qui possède un filtre par la même occasion. Le filtre permettra d’éviter que des impuretés viennent polluer l’eau récupérée : feuilles, insectes et autres bestioles.
Le choix du modèle adapté à ses besoins
Il existe des modèles de récupérateur d’eau de pluie classique qui sont simples à installer. On a également les versions que l’on peut enterrer qui sont assez volumineuses. Elles sont pratiques pour être fondues dans le décor. Ensuite, il y a les modèles qui ont une double fonction : employer pour les tâches domestiques d’un côté et pour le jardin de l’autre côté. On notera qu’il est aussi possible de réaliser soi-même son équipement à l’aide d’un bidon de récupération. Toutefois, il est important de vérifier si ce dernier ne contenait pas des composants chimiques auparavant. Un tel matériel doit disposer d’un couvercle pour que des insectes ou des végétaux ne viennent s’y accumuler.
Les bons gestes responsables et durables
Dans certains cas, il est possible de se procurer gratuitement un récupérateur d’eau. Il est important de souligner que les toits en plomb contenant de l’amiante sont à proscrire si l’on veut récupérer en permanence de l’eau de pluie. Les toits en ardoises, en pierre ou en tuiles sont les plus favorables à ce sujet. En effet, certains éléments chimiques peuvent être mauvais pour la santé des plantes. Dans le cas où l’eau recueillie est inutilisable, il est bon de prévoir un système d’évacuation des eaux usées.